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Onco-hématologie

Oncologie-Hématologie

Le saviez-vous ?

Depuis plus de 50 ans, Janssen s’engage pour les patients dans le domaine de l’oncologie-hématologie. Notre laboratoire vise à améliorer significativement la prise en charge des cancers fréquents comme celui de la prostate, du poumon, mais aussi des plus rares comme certains cancers du sang, où le besoin médical est encore très important.

Janssen dans le domaine de l’oncologie-hématologie

Conscient de l’ampleur que représentent les cancers en France comme dans le monde, Janssen travaille sans relâche pour développer des thérapies innovantes sur les types de cancer pour lesquels nous disposons d’une expérience et de compétences approfondies. En effet, notre focalisation claire et notre engagement à long terme nous permettent d’être particulièrement actifs dans le traitement des cancers du sang et de certaines tumeurs solides.

Plus que des solutions thérapeutiques novatrices de traitement des maladies complexes, nous sommes convaincus que la recherche de nouvelles méthodes efficaces de prévention et de diagnostic est indispensable.

C’est en nous engageant à faire avancer la science et à proposer des innovations médicales importantes et différenciées que nous parviendrons à atteindre notre objectif qui est de faire du cancer une maladie gérable et à terme guérissable.

Notre expertise se concentre sur trois types de cancers dits solides :

Les tumeurs solides

Les tumeurs solides sont les plus fréquentes, représentant près de 90% des cancers humains[1]. Ces tumeurs peuvent se développer dans n’importe quel tissu : à la fois les cellules épithéliales (peau, muqueuse, glande, …) et les cellules des tissus conjonctifs (os, cartilage…).

Cancer de la prostate

Le cancer de la prostate représente un véritable enjeu de santé publique. En France, il est le premier cancer chez l’homme en termes d’incidence et le troisième cancer en termes de mortalité. Rare avant 50 ans, son incidence augmente progressivement avec l’âge[2]. La suspicion d’une tumeur de la prostate repose sur le dosage du PSA et le toucher rectal[3]. Des progrès importants ces dernières années.

En France, nous sommes engagés et leader depuis plus de 10 ans dans le domaine du cancer de la prostate. Nous avons une double orientation R&D :

- Apporter des traitements de plus en plus individualisés pour les stades avancés pour lesquels les soins thérapeutiques sont toujours importants.

- Permettre une intensification thérapeutique plus précoce chez les patients non métastatiques à hauts risques d’évolution. Avec là comme ambition d’augmenter significativement le taux de guérison.

Enfin Janssen oriente sa R&D vers de nouvelles cibles thérapeutiques et de nouvelles technologies.

Cancer du poumon

Le cancer du poumon est la première cause de décès par cancer en France.

Et même si aujourd’hui, 80% des cancers du poumon sont attribuables au tabac, premier facteur de risque[4], il est important de souligner qu’il existe différents cancers du poumon associés notamment à des mutations génétiques, comme le cancer bronchique non à petites cellules avec mutation du gène de l’EGFR, sur lequel Janssen intervient plus particulièrement.

Cancer de la vessie

Le cancer de la vessie, à nette prédominance masculine, est une maladie des cellules de la paroi interne – muqueuse - de la vessie, organe du système urinaire dont la fonction est de fabriquer l’urine et de l’évacuer hors du corps.

Il s’agit du deuxième cancer urologique le plus fréquent après celui de la prostate[5].

Médecine de précision

Nous voyons un énorme potentiel dans l’utilisation de diagnostics compagnons pour aider à identifier les patients qui sont les plus susceptibles de répondre à un traitement ou d’obtenir les meilleurs résultats avec l’une de nos thérapies. Dans le cadre de cet effort, nous développons des biomarqueurs prédictifs pour guider vers le traitement ciblé et personnalisé pour différents cancers. Il existe également un fort soutien scientifique sur le fait que plus le cancer est diagnostiqué tôt et potentiellement traité, plus le résultat potentiel est favorable.

Nous faisons progresser les outils numériques pour mesurer les signes et les symptômes de la maladie afin que le cancer puisse être diagnostiqué et intercepté dès les premières phases de la malignité pour améliorer les chances d’une issue plus favorable.

Les récents efforts de recherche dans le domaine de l'oncologie de précision ont fourni des informations clés qui devraient transformer le paradigme des traitements et continueront sans aucun doute à élargir les options thérapeutiques dans les années à venir.

Tumeurs hématologiques (ou « liquides »)

Les cancers du sang ou hémopathies malignes correspondent à un développement anormal des cellules du sang ou de la moelle osseuse. Il existe différents cancers du sang parmi lesquels le myélome, les lymphomes (tumeurs situées dans les ganglions) et les leucémies (prolifération anormale de cellules jeunes ou matures dans la moelle osseuse). Ces maladies touchent chaque année environ 45 000 personnes en France.[6]

Myélome Multiple (MM)

Aussi appelé cancer de la moelle osseuse, le myélome multiple se caractérise par la prolifération excessive dans la moelle osseuse de plasmocytes malins.

Janssen est pionnier dans le champ de l’immunothérapie et notamment les immunothérapies de nouvelles générations.

Leucémie Lymphoïde Chronique (LLC)

Leucémie la plus fréquente, elle touche principalement les adultes et se caractérise par la prolifération anormalement rapide de lymphocytes B malins dans le sang.

Lymphome à Cellules du Manteau (LCM)

Ce cancer du sang rare affecte le système lymphatique à cause de la transformation maligne d’un lymphocyte B sur le bord externe du follicule d’un ganglion lymphatique, zone dite du « manteau ».

Maladie de Waldenstrôm (MW)

Cette hémopathie maligne est liée à la prolifération de cellules lymphoïdes (lymphocytes B) au niveau de la moelle osseuse, et plus rarement au niveau des ganglions et de la rate. Parallèlement, ces lymphocytes anormaux produisent tous le même anticorps, que l’on appelle une immunoglobuline M (IgM) monoclonale. Produite en quantité parfois très importante, cette IgM circule dans le sang.[7]

Notre Engagement dans l’amélioration du parcours de soins des patients

Au-delà de notre engagement scientifique pour mettre à disposition des patients nos dernières innovations thérapeutiques, nous sommes très engagés dans leur parcours de soins et nous travaillons sans relâche pour rendre disponible à tous des solutions pour les accompagner et améliorer leur qualité de vie, de la prévention, au suivi de la prise en charge à l’hôpital mais aussi en ambulatoire.

Tous les projets sont co-construits avec les patients et les professionnels de santé et font l’objet d’une mesure d’impact afin d’en démontrer la valeur associée. Retrouvez ci-dessous, quelques exemples de solutions et services mis en place en oncologie-hématologie.


Notes

  1. Fondation contre le cancer, Les types de Cancer. [En ligne, consulté le 19/12/2023]
  2. Institut national du cancer (INCa), Panorama des cancers en France - édition 2023. [En ligne publié en Juillet 2023 et consulté le 19/12/2023]
  3. Rozet F, et al. Recommandations françaises du Comité de cancérologie de l’AFU – actualisation 2020–2022 : cancer de la prostate. Prog Urol. 2020 Nov;30(12S):S136-S251
  4. Institut national du cancer (INCa), Panorama des cancers en France - édition 2023. [En ligne publié en Juillet 2023 et consulté le 19/12/2023]
  5. Hopital Saint Joseph, Cancer de la vessie. [En ligne consulté le 19/12/2023]
  6. Santé Publique France, Estimation nationale de l'incidence et de la mortalité par cancer en France entre 1980 et 2012. [en ligne mis à jour en 2019]
  7. Société Française d’Hematologie, Maladie de Waldenström. [En ligne, publié en mars 2099, consulté le 14/12/2023]
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